Molinier, travesti, homosexuel, a vécu la violence et les obsessions sexuelles sur lesquelles les autres surréalistes n’ont que fantasmé. Ses oeuvres d’art montre la découverte de ses désirs sexuels subconscients qu’on peut voir dans le livre Cent Photographies Erotiques un livre plein d’images de douleur et de plaisir.
Son style est progressé du Réalisme et l’impressionnisme à l’abstraction. Au milieu des années trente, il était déjà en train de produire des œuvres d’art symbolique et surréaliste. Son obsession était l’ambiguïté sexuel; une obsession bizarre qui est né quand il commence à peindre des figures féminines avec plusieurs membres.
ENFANCE
En 1900 – Pierre Molinier est né le 13 avril à Agen.
Comme enfant, il est élevé dans un environnement féminin.
Sa scolarité se déroule chez les Frères des Ecoles chrétiennes d’Agen.
ADOLESCENCE
Il commence, à l’age de treize ans, à travailler avec son père comme apprentis et entre aux cours du soir de dessin (à Agen)
En 1918, sa sœur, avec qui il est amoureux depuis longtemps, meurt et il prend des photos de son corps sur son lit de mort. Peut-on parler de relations incestueuses? Plus tard, il tombe amoureux avec sa propre fille aussi!
En 1919, A l’âge de 19 ans, il se déménage à Bordeaux où il commence à travailler pour son propre compte, comme peintre.
DATES IMPORTANTES
En 1927, on voit la premiere exposition de ses tableaux. A cette époque, il peint des paysages et portraits figuratifs.
Les dix ans entre 1940-50 sont obscures; il est fait prisonnier de guerre en 1940, son père se suicide par l’absorption des médicaments, sa femme quitte le domicile conjugal.
En 1950, il érige sa tombe prématurée.
En 1951, un scandale est provoque par son premier tableau érotique
Le Grand Combat
En 1955, Molinier a rencontré l’un des surréalistes le plus célèbre, André Breton.
En 1959, il montrait déjà son art à l’exposition internationale de surréalistes.
En 1960, ses premiers essais photographiques et photomontages sont publiés dans lesquels il monte de éléments transvestis et mêle les genres masculin et féminin.
En 1976, Il se suicide d’une balle dans la bouche, le 3 mars.
SES PORTRAITS AUTO-EROTIQUES.
Molinier a commence à créer et de prendre (avec l’aide d’un commutateur de commande à distance) des photos de lui-même, des portraits ou il a posé comme dominatrice. Il prennait des photos noir et blanc, ou il était soit seul, soit avec des mannequins plastiques, soit avec des femmes.
Dans ses photographes, il apparait comme un travesti, portant des collants résilles, des porte-jarretelles, des talons, des masques et des corsages.
LE BUT DE SES PHOTOGRAPHES ET MONTAGES
L’un des buts de surréalisme était de libérer l’érotisme de l’homme vers l’art. Le but de ses photographes c’était, simplement, choquer. Si on est excité ou dégoûté par ses photos, lequel n’est pas importante; ce qui est essentiel, c’est le pouvoir de la photo de contaminer le spectateur. L’idée : on peut seulement trouver sa sensibilité érotique, et donc aussi sa liberté spirituelle (les deux ne sont pas mutuellement exclusif pour Molinier), après cette expérience.
Molinier essayait de détruire tout tabou avec ses œuvres sexuellement ouvertes et exploratifs; Il défendait un art sans contrainte, ni restriction.
L’hermaphrodisme, la transidentité, le travestissement, la sexualité, l’inversion des rôles sexuels, la perversité, l’androgynie, l’indécence, la provocation, fétichisme des jambes.
Dans ses montages, on peut voir des membres entrelacés. Autre photo encore, on ne voit que lui, posant complètement exposé, d’une position de soumission. Il a pratiqué l’auto-sodomisation avec des godemichés qu’il a crées lui-même, lesquels il attache a ses chaussures.
Ses tableaux étaient fortement érotiques : on dit qu’il a mélange même son propre sperme aux pigments de couleur.
Pour beaucoup, il était un personnage obscène, décadent et provocateur. Son but était créer la chance pour chacun de chercher sa propre liberté en toute liberté.